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Syndrome de l’imposteur : 3 conseils pour le dépasser !

Théorisé en 1978 par deux psychologues américaines Pauline Rose Clance et Suzanne Ament Imes, le syndrome de l’imposteur toucherait environ 70% de la population à un moment dans leur vie. Le syndrome de l’imposteur ce sont ces pensées tenaces, ce sentiment qui vous dit que :

  • vous n’êtes pas légitime
  • vos succès ne vous sont pas attribués
  • que votre entourage professionnel ou personnel finira par vous démasquer


Si vous n’arrivez pas à déterminer si vous souffrez du syndrome de l’imposteur, je vous invite à lire cet article que j’ai écrit il y a quelques semaines et dans lequel je détaille comment reconnaître le syndrome de l’imposteur, ses causes et ses symptômes suivi d’un test pour savoir si vous en souffrez.

J’ai moi-même été longtemps confrontée au syndrome de l’imposteur ; ce n’est qu’avec un travail sur moi et grâce à la création de Misfit que j’ai réussi à m’en détacher et à retrouver confiance en moi. C’est un travail de longue haleine et parfois, ces pensées négatives  refont surface !

Dans cet article, je vous propose 3 conseils à mettre en pratique pour combattre votre syndrome de l’imposteur et booster votre confiance en vous. Car bonne nouvelle : le syndrome de l’imposteur n’est pas une fatalité et vous pouvez vous en débarrasser !

1. Faire taire la petite voix et accepter les compliments

Le syndrome de l’imposteur se manifeste souvent sous la forme d’une petite voix, celle qui vous chuchote “Tu es nulle”, “Tu n’as pas les compétences pour ce poste”, “Tu n’es là que parce que tu as de la chance”, “Qui es-tu pour faire ça ?”

Vicieuse, cette petite voix et ses critiques installent de manière durable une mauvaise estime de soi, un manque de confiance et une peur de l’échec qui peut se révéler paralysante. Mais cette petite voix ne fait pas partie de vous. Elle s’est construite et a pris une place importante suite à des critiques ou des expériences négatives que vous avez vécues. Cette voix, c’est celle de l’illégitimité.

Alors, comment la faire taire ? Souvent, on conseille de personnifier cette voix afin de la dissocier de vous-même. Vous pouvez lui donner un nom, une forme physique ou une couleur par exemple. 

Cela peut paraître étrange comme conseil mais personnifier cette voix permet de la tenir à distance et de réduire son emprise sur vous. Pour optimiser ce procédé, attardez-vous sur les compliments que l’on vous fait, qu’ils viennent de vos ami·e·s ou de vos collègues. Cela permet souvent de se rendre compte de ses qualités, de ses compétences et de donner un petit coup de fouet à la confiance en soi

2. Se focaliser sur le positif

Notre cerveau est un outil surpuissant qui a tendance à garder en mémoire le négatif.
Pourquoi ? Lorsque l’on fait face à un danger, un échec ou à une expérience négative, notre cerveau enregistre les facteurs qui ont conduit à cet échec ou à ce danger. À l’état de nature, cela permet de préserver la survie de l’individu et du groupe.

C’est ce qu’on appelle le biais de négativité. Et il faut bien reconnaître que cette propension du cerveau à retenir le négatif est une aubaine pour le cercle vicieux du syndrome de l’imposteur ! Un cocktail idéal pour alimenter la peur de l’échec, la mauvaise estime de soi et donc l’expérience de l’imposture. Pour contrer ça, notez dans un petit carnet toutes vos réussites, vos succès, les compliments que l’on vous fait quant à votre travail et gardez-les précieusement. 

À lire et relire en cas de coup de mou ou de stress grandissant face à un nouveau défi. Ça marche vraiment et ça booste la confiance en soi !

Syndrome de l’imposteur : 3 conseils pour le dépasser !

3. Adopter le growth mindset et se détacher de la course à la performance

Dans notre société, on pense toujours en termes de performance. Le but ? Être le meilleur ou la meilleure et vouloir toujours plus : d’argent, de vacances, de reconnaissance,  etc. 

Au-delà de l’insatisfaction perpétuelle qui a de grandes répercussions psychologiques, cette course à la performance et au succès nous incite à nous comparer sans cesse. Un bon point de départ pour le syndrome de l’imposteur.

D’autre part, les français  ne font pas partie des grands fans de l’échec – puisqu’il faut performer. Dans d’autres sociétés, l’échec est vécu non pas comme une expérience négative mais plutôt comme une expérience nécessaire pour affiner ses goûts, ses choix, ses envies. Et c’est à mon sens beaucoup plus porteur. 

Syndrome de l’imposteur : 3 conseils pour le dépasser !

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