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Les premiers résultats de notre enquête sur le bien‑être des femmes au travail

Vous l’avez sûrement vu passer, nous avons diffusé notre grande enquête sur le bien-être des femmes au travail au début du mois. Notre objectif à travers cette étude est de comprendre les besoins spécifiques des femmes au travail et de lever les tabous sur ces sujets encore trop peu abordés en entreprises.

Tout d’abord je tiens à remercier infiniment les participantes à cette enquête. Grâce à vous nous avons recueilli plus de 1000 réponses !

Pour celles qui n’auraient pas encore eu le temps d’y répondre, il est encore temps. Nous souhaitons la laisser ouverte jusqu’à obtenir 5000 réponses. Oui, ça fait beaucoup, mais dans notre monde, ce sont les gros chiffres qui font bouger les choses.

Et maintenant, place au premiers résultats de l’enquête !

Les femmes et le bien-être au travail

48,5% des femmes interrogées estiment que leur travail a un impact négatif sur leur santé physique ou mentale

C’est quasiment une femme sur deux qui affirme voir sa santé dégradée par son travail.

Parmi celles qui en souffrent, 82,9% voient des symptômes physiques récurrents : fatigue chronique, stress, anxiété, maux de ventre, allergies, pertes de mémoire, etc. et 32,1% ont déjà été mise en arrêt de travail par leur médecin ou leur psychiatre dans leur carrière. 

Le réflexe dans ce cas là est d’en parler à son entourage (52,7%), puis de consulter un psychologue ou un thérapeute (30%).

Les femmes et le bien-être au travail

Les femmes sont encore près de 46,5% à éprouver des difficultés à s’affirmer et poser leurs limites

Seulement 5,9% des femmes expriment ne jamais avoir eu de problèmes de confiance en elles au travail. Cela fait donc plus de 9 femmes sur 10 qui doutent d’elles-mêmes, se sentent illégitimes et n’osent pas s’affirmer en milieu professionnel. 

Une des conséquences de ces doutes permanents est la difficulté à poser des limites : dire non à une charge de travail supplémentaire, non à l’injonction au présentéisme, non aux remarques blessantes…

Apprendre à dire non et s’affirmer est sans doute la compétence la plus difficile à acquérir en environnement professionnel. On pense à tort que le fait de dire “non” nous ferme des portes, alors que c’est bien le “oui” brandi à tort et à travers qui nous conduit à l’épuisement.

47,1% des femmes que nous avons interrogées chez Misfit expliquent avoir tendance à se sur-investir aux dépens de leur vie personnelle

Ici aussi, c’est quasiment une femme sur deux qui a tendance à faire passer ses besoins personnels après son travail. 

La peur de perdre sa place, le besoin de se sentir légitime et la quête de reconnaissance sont souvent à l’origine de ce comportement.

Mais ce schéma peut aussi provenir de la croyance qui nous convainc qu’on est indispensable pour l’entreprise, ou qu’on est LA personne qui peut sauver la situation. 

Ce sur-investissement peut aussi être généré à partir d’un sentiment de culpabilité : on a souvent peur que la charge de travail retombe sur les collègues et on préfère prendre sur soi pour délester les autres.

Seulement 8,8 % des femmes interrogées expliquent avoir eu des solutions satisfaisantes proposées par les managers et RH

Dans 35,9% des cas, aucune solution n’a été proposée par les manageurs et services RH. 

La confiance en soi et l’équilibre vie pro-vie perso semblent être des sujets vers lesquels peu de ressources sont allouées en entreprise. Et pourtant ! Les conséquences de la non prise en charge de ces problématiques entrainent des difficultés, notamment arrêts de travail, baisses de motivation et démissions. 

De ce que je comprends, ces sujets sont encore tabous et la route va être longue avant que des solutions efficaces soient accessibles au sein de toutes les entreprises.

Mais ce n’est pas parce que les RH ne proposent pas de solution qu’il n’est pas possible de faire valider VOTRE solution. C’est d’ailleurs ce que je vous conseille de faire : n’hésitez pas à aller voir votre service RH ou votre manager pour lui demander de vous financer un accompagnement en coaching ou des séances bien-être.

Ça vaut le coup d’essayer, et d’ailleurs, plusieurs Misfit ont déjà réussi à se faire financer nos accompagnements par leur employeur. 

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